« Cette année, nous avons mis à l’honneur les champions du digital provenant du Maroc, de la Tunisie, du Sénégal et du Togo car ils sont les locomotives du digital en Afrique. Il n’y a pas que les anglophones qui développent des compétences dans ce domaine. Cette année, l’enjeu est important. Nous voulions unir nos forces pour faire en sorte que la question du numérique soit débattue à l’occasion du prochain sommet UE-UA. Car, comme l’a dit le président ivoirien Alassane Ouattara, ‘l’Afrique a manqué la révolution industrielle. Elle n’a pas le droit de manquer la troisième révolution, celle du numérique ».