« C'est toujours quelques millions mais surtout, la logique de nos offres est désormais laisser le choix aux consommateurs. C'est comme pour le sans engagement : on m'a dit que ça cannibaliserait le reste mais un Free a 14 millions d'abonnés sans engagement, ça forme des consommateurs et on ne peut pas faire comme si cela n'existait pas ».