« Dès la fin de la COP22, les palmiers ont été arrachés. Donc, les arbres on oublie. C’est dommage! Pour le reste, c’est le même sentiment qui prévaut. L’organisation a opté pour une structure démontable. Ce qui aurait pu se transformer en un centre pérenne, une structure que les artisans ou les artistes auraient pu investir à l’issue de l’événement n’est plus. C’est un mirage. De l’éphémère ! »