Concurrencé par Netflix et les télés hertziennes migrant vers le Web, le site «professionnalise» son offre en multipliant les chaînes thématiques, gratuites ou payantes. Mais le modèle peine à s'imposer. Les chiffres, confidentiels chez Google tant le sujet est brûlant, laissent entendre qu'en 2013 YouTube n'aurait réalisé «que» 3,5 milliards de dollars, au lieu des 5,6 milliards prédits par les analystes.