" Cette crise nous a permis d’optimiser l’usage des nouvelles technologies, notamment numériques, pour maintenir une communication au sein des organisations, et pour ne pas paralyser des processus permettant de produire, distribuer et consommer les biens et les services. Les réunions à distance, les outils de géolocalisation facilitant le partage d’équipements et autres ressources, nous permettent d’envisager de nouveaux modèles de production et de consommation, tout en réduisant notre empreinte CO2, nos investissements en équipements sous-utilisés, en temps et moyens financiers passé à nous déplacer quand les rencontres peuvent s’organiser à distance. Les nouveaux modèles de l’économie collaborative, de la fonctionnalité, du partage en sont de bons exemples. Mais, il faut nous assurer que l’émergence de ces nouveaux fonctionnements soient accessibles à tous, en réduisant la fracture numérique plutôt qu’en l’accroissant. Il s’agit aussi de mettre ces nouvelles technologies au service d’une économie plus résiliente et durable sans l’imposer à tout prix."