« Il est d’usage d’associer le big data aux «3 V» correspondant aux notions de volume, variété et vitesse. Or, si les trois aspects ont progressé en l’espace de dix ans, le big data semble de moins en moins apte à aider les marketeurs à générer de la valeur, probablement parce qu’il fait l’impasse sur un quatrième «V» : celui de valeur. En effet, le big data n’aide pas vraiment les marketeurs à interagir avec le client sur les bons canaux et à travers le contenu le mieux adapté. »
