« Quand on regarde le paysage médiatique, on constate une anomalie. On ressent un vide en Afrique. Il n’y a pas aujourd'hui une seule chaîne africaine qui puisse être qualifiée de «power-house», autrement dit, un super grand média présent sur tous les supports de communication. L'anomalie est que les chaînes de référence dites «panafricaines» ne sont pas nécessairement africaines. Il est donc important de se regrouper et de collaborer, en tant que médias africains, pour créer ce super grand média africain. À AIIAfrica, nous faisons de notre mieux grâce à notre présence partout en Afrique et à l’étranger. En plus de nos propres journalistes, nous avons un réseau de 150 organes de presse en Afrique. Nous sommes donc un agrégateur. Il faut travailler pour avoir un super grand média africain. Nous sommes déterminés à œuvrer dans ce sens. »
