« Pour avoir travaillé autant sur des marques internationales et sur des marques locales, je peux affirmer que l’exercice diffère. Il faut bien plus de courage sur les marques locales, alors que pour les marques internationales, les campagnes sont orientées par des « guidelines ». Je trouve dommage que les marques locales ne saisissent pas toujours cette liberté. Il y a une frilosité sur les positions qui est non justifiée de la part des marques, mais aussi des agences. Et puis, quand on commence à se poser des questions comme « est ce que mon boss va être content ? est-ce que ça va plaire ? : ça casse tout le processus créatif. »
