Le fondateur du plus grand réseau social du monde reconnaît, dans un message publié le 4 janvier, que son entreprise a du mal à "faire respecter ses règles d'utilisation et à empêcher les mauvais usages".
Mark Zuckerberg se lance, chaque année, un défi. Et celui de 2018 s’annonce plus compliqué que de lire 25 livres ou visiter chaque Etat américain, explique le patron de Facebook qui promet donc de « réparer » le réseau social, dans le collimateur pour sa difficulté à lutter contre les propos haineux et les « fake news ».
« Le monde se sent inquiet et divisé et Facebook a beaucoup de travail à faire, que ce soit pour nous protéger des abus et de la haine, nous défendre contre les ingérences de certains pays ou nous assurer que le temps passé sur Facebook est du temps bien dépensé », écrit Mark Zuckerberg sur sa page personnelle.
«Mon défi personnel pour 2018 est de me concentrer sur la résolution de ces questions importantes. Nous n’empêcherons pas toutes les erreurs et tous les détournements (de Facebook) mais nous faisons à l’heure actuelle trop d’erreurs pour ce qui est de faire respecter nos règles (d’utilisation) et d’empêcher les mauvais usages de nos outils», reconnaît le milliardaire dans son message sans préciser comment il compte y procéder.
