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Frijj casse les codes de la masculinité toxique avec une campagne pop et décalée

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La marque de milkshakes Frijj, propriété du géant laitier Müller, a lancé une campagne percutante qui bouscule les clichés virils et les codes rigides de la « grindset culture » qui inonde les réseaux sociaux des jeunes hommes de la génération Z.

Intitulée « Just feel the Urjj », cette campagne signée par l’agence VCCP se veut un antidote au culte de la performance et à l’obsession du succès prônés par les figures omniprésentes des "finance bros", "gym gods" et autres "alpha motivators".

Avec un ton résolument ironique, le spot publicitaire de 20 secondes détourne les discours des influenceurs ultra-sérieux pour célébrer l’insouciance, la légèreté et le plaisir simple d’un bon milkshake. L’objectif ? Offrir à ces jeunes hommes une pause sucrée et libératrice dans un monde saturé d’injonctions à réussir.

« Frijj, c’est pour les gars qui ont besoin d’un peu plus de n’importe quoi dans leur journée », explique Hannah Gillespie, directrice de marque chez Müller. Elle précise que la campagne vise à « toucher cette énergie rebelle et joyeuse que notre public adore ».

Une cible claire : les jeunes de 16 à 24 ans, très actifs sur les réseaux, qui seront les premiers exposés à cette campagne à partir du 10 juin. Le déploiement se poursuit avec une diffusion élargie dès le 16 juin, combinant social media, marketing d’influence (géré par Ogilvy PR) et achat média orchestré par EssenceMediacom.

George Wait, directeur de création chez VCCP, souligne le message central : « Les jeunes hommes d’aujourd’hui sont bombardés de modèles de réussite toxiques. Nous voulions leur rappeler que c’est OK de lever le pied, de profiter du moment et de savourer un milkshake avec une dose de fun. »

Avec cette approche audacieuse et décalée, Frijj entend bien se faire une place de choix dans l’univers des boissons prêtes à boire, tout en reconnectant une génération à l’idée que la douceur peut aussi être un acte de rébellion.